Alors que bien d’autres actions de dépistage font désormais partie de la pratique courante de la médecine générale, celle qui concerne l’Hépatite C peine à se développer. L’étude conduite par l’ADIM, l’URML RA et le Laboratoire Roche a tenté d’approcher les raisons de cet échec relatif et de préciser l’attitude du médecin généraliste face au patient potentiellement exposé au risque d’Hépatite C.
Sources : Union Régionale des Médecins Libéraux de Rhône-Alpes (URML-RA), Association pour le Développement de l’Information Médicalisée (ADIM) | Année : 2006